La tendance a presque toujours été la même dans tous les Corps de Métiers. Celui des conducteurs de mototaxis, pouvait-il être en reste? Évidemment non, à se référer à l’entretien que le secrétaire général de l’Association des Conducteurs de Mototaxis a accordé à votre site dimanche 02 octobre 2016 au Centre Culturel Régional de Louga. À ce centre, débutait la veille l’animation d’un atelier de formation et de sensibilisation des acteurs de ce sous-secteur des Transports Publics.

Ainsi, dans la communication accordée par Serigne DIOP, on peut retenir la réelle volonté des « mototaximen«  de rendre reluisant et attractif les services rendus dans la sécurité et le confort. Notre interlocuteur a rappelé à cet effet les moments précieux de sensibilisation organisée autour du Préfet de Louga sur la nécessité de l’implication de tous les acteurs de ce type de transport en vue de faire prévaloir la sécurité et le confort tous azimuts. Monsieur DIOP n’a pas manqué de souligner les difficultés de structuration et d’organisation du secteur. effet, souligne-t-il, des gens indélicats profitent souvent d’avantages conjoncturels pour n’investir que momentanément le secteur avant de retourner se consacrer à autre chose. Une autre difficulté est le peu de mototaxis recensés, soit 150 seulement qui sont loin de la réalité du transport urbain et interurbain à Louga et périphérie.

Le Chargé de la Communication de la Section de Louga l’Association des Conducteurs de Mototaxis a révélé aussi que chacun des « mototaximen«  doit anuellement un versement de 3500 FCFA pour une couverture médicale des acteurs du système.

Ce système est calqué sur l’assurance automobile obligatoire.

LOUGAWEBMEDIAS.COM

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