Le journaliste de la BBC Martin Patience a vu le stock que les trafiquants voulaient faire entrer au Nigeria.
Selon lui, à première vue rien n’indique qu’il s’agit de plastique, tellement la texture et les formes font penser à du vrai riz.
« Quand on touche le riz, rien d’anormal ne se remarque. Mais à l’approche du nez, une odeur de produit chimique s’en dégage », témoigne-t-il.
Les douaniers ont affirmé qu’après cuisson, le riz en plastique se colle et on découvre la supercherie.
Ils ont envoyé un échantillon au laboratoire pour en déterminer la composition.