Dans une nouvelle sortie « fracassante », le Premier Ministre algérien Ahmed Ouyahia, s’est fendu, une nouvelle fois, de propos hasardeux, irréfléchis et insipides proférés à l’encontre du Maroc.
Les faits se sont déroulés le 20 janvier 2018 lors du Conseil National de son Parti, le RND, en accusant une nouvelle fois le Maroc d’inonder son pays de haschisch, ajoutant que  » si ça ne tenait qu’à lui, il instaurerait la peine de mort pour les trafiquants de drogue, pas ceux qui la vendent au gramme mais ceux qui la font rentrer par quintaux ».
Cette déclaration, bidon, a laissé pantois les journalistes et les observateurs présents. L’un d’eux, algérien de surcroit, a même dit : « Pleure ô Algérie bien-aimée ». De plus, sur les réseaux sociaux les algériens lui ont répondu sèchement en déclarant unanimement qu’Ouyahia est une « honte » pour son pays, son voisinage que pour le poste qu’il occupe.
Faut-il en rire ou en pleurer des accusations de ce monsieur à l’encontre du Maroc ?
Autre tentative d’isoler le Maroc sur le plan international, celle d’Hélène Legeay, la responsable Maghreb au sein de l’Action Chrétienne pour l’Abolition de la Torture (ACAT) qui a enfilé, le 18 janvier 2018, la robe de magistrat d’une juridiction internationale pour « statuer » que le Maroc serait comptable de « crimes de guerre » prétendument perpétrés au Sahara marocain ! Des « crimes » qui n’existent évidemment que dans l’imagination de ses promoteurs, notamment de Madame Legeay.
Or, il de notoriété publique que l’ACAT est une organisation connue pour son hostilité viscérale envers le Maroc et pour ses accointances avec le régime algérien qui lui ouvre allègrement les portes de l’Agence Presse Service (APS – agence de presse officielle algérienne) ; une tentative haineuse de cette officine de pacotille, servant de fer de lance au régime algérien et à son pantin, le polisario, pour tenter vainement d’infléchir la position de la France sur le dossier du Sahara marocain.
Au fait, que pense-t-elle du décès d’un détenu sahraoui sous la torture pas plus tard que le 13 janvier 2018 dans ce bagne de sinistre réputation nommé « Dhaibia », à Tindouf ? Voilà un cas parmi tant d’autres auquel elle ferait mieux de s’intéresser, autant que l’enseigne ACAT qu’elle entend représenter au Maghreb.
En fait, elle préfère reprendre à son compte la même phraséologie mensongère du polisario, et surtout de son sponsor officiel algérien, qui n’a jamais lésiné sur les pétrodollars, que sait-on ? Les pétrodollars algériens ont toujours servi à nuire aux intérêts du Maroc, en priorité à son intégrité territoriale ! Pourquoi l’ACAT refuserait-elle un agenda algérien qui fait de l’hostilité anti-marocaine le principal sujet de sa politique étrangère et qui est chichement payé ?
Le mois de janvier 2018 restera gravé dans la mémoire des responsables algériens et du polisario, tant sont nombreux les cuisants échecs qu’ils ont essuyés en ce début d’année. Que leur réservera le mois de février 2018 qui arrive à grandes enjambées ?
Farid Mnebhi.

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