Il n’en fallait pas plus pour outrager un symbole d’un Etat souverain, qu’est le Maroc, en l’occurrence celui d’arracher le drapeau national du mât du consulat du Maroc à Bordeaux, perpétré par le nervis à la solde de responsables algériens et de leurs affidés polisariens.
Le 03 août 2017, cet individu, dénommé Ould Laâroussi, un activiste gonflé à bloc par ses manipulateurs à Alger et à Tindouf, a osé, lors d’un sit-in en solidarité avec les criminels de la tuerie de Gdeïm Izik, devant le Consulat Général du Royaume du Maroc à Bordeaux (France), s’introduire au sein de la représentation diplomatique marocaine et arracher le drapeau marocain du haut de l’établissement.
Acte gravissime à un emblème et à un symbole du Royaume du Maroc perpétré par une ouaille d’Alger et du Polisario en marge d’un sit-in organisé face au Consulat Général du Royaume du Maroc à Bordeaux en solidarité avec les auteurs des meurtres de Gdeïm Izik.
Cet acte dénote le haut degré de nervosité des polisariens qui, en désespoir de cause, multiplient les provocations envers le Maroc dans une vaine tentative de soudoyer l’opinion publique sur le pseudo « droit du peuple sahraoui à l’autodétermination » et qui dénote l’amertume du tandem Alger-polisario après l’échec de toutes leurs tentatives pour faire cautionner par la communauté internationale cette grossière supercherie, nommée « droit du peuple sahraoui à l’autodétermination » !
Quoi qu’il en soit, le nervis polisarien, Ould Laroussi, à la solde d’Alger et des polisariens, a été intercepté par les forces de l’ordre françaises et sera déféré devant la justice française pour y répondre de son acte outrageux à un symbole d’un Etat souverain et ami de la France, à savoir le drapeau du Maroc.
Le dénommé Ould Laâroussi, à la solde des services algéro-polisariens, a de vrais soucis à se faire, après s’être permis d’arracher le drapeau marocain du haut du consulat du Maroc à Bordeaux.
D’où ce recours à ces pratiques de voyous auxquels se livrent les nervis séparatistes. L’atteinte au drapeau marocain constitue toutefois un acte gravissime qui exige des autorités françaises des mesures appropriées pour éviter qu’il soit reproduit.
Pour rappel, la résolution 2351, adoptée fin avril 2017 à l’unanimité des quinze membres du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations-Unies, a enterré définitivement l’option du « référendum d’autodétermination » prônée par les polisariens, soutenue par Alger.
Farid Mnebhi.