A trois jours de la commémoration du départ en exil au Gabon de Cheikh Ahmadou Bamba, l’ambiance du magal commence à régner dans la ville sainte de Touba et les talibés commencent à prendre d’assaut la ville sainte . Ce rush fait l’affaire des transporteurs ( chauffeurs de bus ,de car « ndiaga ndiaye », charretiers),et des commerçants .

A trois jours de la commémoration du départ en exil au Gabon de Cheikh Ahmadou Bamba, l’ambiance du magal  commence à régner dans  la ville sainte de Touba  et les talibés commencent à prendre d’assaut la ville sainte . Ce rush fait l’affaire des transporteurs ( chauffeurs de bus ,de car « ndiaga ndiaye », charretiers),et des commerçants .
Si les charretiers font de gros bénéfices, les transports en commun, comme les taxis et les bus, convoyant les fidèles depuis Dakar et les autres localités du pays et des pays environnants, profitent grandement de l’événement pour hausser considérablement leur chiffre d’affaire. « Je peux  gagner 400000fcfa par jour. Dieu merci ! Le magal nous rapporte un grand profit » avance un chauffeur de bus. Les  pèlerins doivent  casquer au minimum  2500 francs  CFA   pour rallier la ville sainte de Touba  et  répondre à l’appel de Serigne Touba.
Mieux qu’à Dakar, leur terrain de prédilection, les marchands ambulants ou vendeurs à la sauvette font de bonnes affaires. Les  marchés de la ville sainte  vivent au rythme des préparatifs du magal et grouillent de monde. Vendeurs et acheteurs se bousculent devant les nombreux  étals aménagés pour la circonstance. Les vendeurs utilisent tous les moyens pour attirer du monde : hauts parleurs chaines  à musique aux mélodies des khassaides. Ces vendeurs  proposent de nombreux produits aux  fidèles – clients  qui ont l’embarras du choix :  gadgets comme les photos des différents khalifes, de la grande mosquée, matériels électroménagers , produits cosmétiques…

Khalifa dieye notre correspondant a Touba-Mbacke

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