Ainsi, c’est une vaste coalition dirigée par le préfet de Louga Mamadou Khouma qui mène une croisade contre les mauvaises pratiques dans le tranport urbain. Les autorités administratives, le préfet du département en tête, les chefs des services étatiques impliqués, le représentant des forces de l’ordre, une délégation de la mairie, du conseil départemental,
des chefs de quartiers de même que les chefs religieux ont tous conjugué leurs efforts auxquels s’est ajouté le verbe pour freiner les nombreux accidents de la circulation dans la commune.Surtout ceux causés par les motos Jakarta. C’est un véritable drame qui continue d’endeuiller les populations. On reconnait cependant l’utilité de ces moyens de transport.
Parmi les causes d’accidents les plus fréquemment évoquées citons entre autres : Le nom respect du code de la route, l’indiscipline, le recrutement au rabais (des jeunes de moins de 18ans), la négligence du port de casque sécuritaire, la cacophonie musicale des baffles installés sur les engins et la non immatriculation des motos.
Des affrontements entre mauvais conducteurs et les policiers sont noté. Mais les fautifs sont relaxés à cause de certaines interventions.
Le préfet Mamadou Khouma, a annoncé hier, devant la presse, un arrêté préfectoral portant sur une batterie de mesures axés entre autre sur un contrôle stricte suivi de sanctions conséquentes dés jeudi prochain. Le président du collectif des conducteurs de motos Jakarta Adama DIALLO et le responsable du recrutement reconnaissent que leurs collègues sont parfois cités dans des histoires de vols, de viols, de trafics de chanvre indien. Un autre forfait désolant : des indexés préfèrent toujours éviter la vindicte populaire et s’enfuient, au lieu de porter assistance à leurs victimes.
Rappelons que des autorités politiques ont mis à la disposition des conducteurs de motos Jakarta beaucoup de casques et gilets protecteurs.
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