Dés l’évocation du mot « zombie » les esprits se tournent vers le vaudou, tel qu’il est pratiqué en Haïti. Et, d’une manière générale, sur l’ile de Saint Domingue. De quoi s’agit-il ?
Cette pratique consiste à extraire d’un poisson un poison mortel. Ce poison sera mélangé à des substances pour en amoindrir la toxicité. Une personne, souvent mise au ban de la société, sera choisie pour boire, de force, cette « potion de la honte ». Qui mène à l’antichambre de la mort. La personne est, alors, déclarée morte après constat. Ses funérailles organisées.
Par la suite, cette personne est extraite, nuitamment, de sa tombe. Des antidotes lui seront administrés pendant plusieurs jours dans la forêt. Jusqu’à ce qu’elle récupère de ses forces. Mais cette mort presque totale tue, en la personne, des cellules du cerveau, notamment l’endroit à partir duquel est exprimée la volonté.
L’homme sans volonté devient l’esclave de celui dont il dépend de la volonté.
Cette pratique, sans que le poison provienne du même animal, était courante dans le désert, notamment mauritanien. Pour annihiler toute volonté chez les esclaves.
Seule, d’ailleurs, une telle pratique permet de comprendre la docilité de l’esclave par rapport au maitre.
Plus tard, cette opération était confiée à des chefs esclaves qui la pratiquaient au profit de leurs maitres.
Avec l’islamisation, les maitres d’esclaves sont devenus des cheikhs, les chefs esclaves des dignitaires, les esclaves talibés.
Les repas bien garnis, souvent servis par une gent féminine dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle aiguise l’appétit, sont, pour la plupart, des vecteurs d’une autre forme de zombie. Bien des marabouts insistent pour que le talibé finisse, seul, son bol. Quelques fois encouragé par une hôtesse dont la docilité corse et force l’estomac, d’abord, l’esprit, par la suite.
Voilà le premier jet d’une série d’articles visant à avertir sur l’utilisation malveillante de l’Islam censé libérer l’âme et l’esprit, respectant la volonté naturelle. Tel qu’exprimé par le Coran. Il n’est point de contrainte en religion. Car la droiture s’est distinguée de l’imposture. Sourate 2, Verset 256.
AHMED KHALIFA NIASSE