Depuis la perte du pouvoir par le régime d’Abdoulaye Wade, les libéraux ne se font plus distingués et parfois même leurs activités tournent au ralenti. N’ont-ils plus de fonds pour la continuité de leurs projets ?Ont-ils peur d’être traduits devant la justice pour enrichissement illicite? Chacun y va de son propre commentaire.
En preuve, Habib Sy, depuis qu’il est battu à plate couture par son frère Aly Ngouille Ndiaye semble ne plus avoir espoir de gagner la confiance des linguérois. Toutes ses activités semblent se vouer à l’echec. Et pour preuve sa radio communautaire peine à émettre il y’a plus d’une semaine. La cause, une facture non payée d’électricité estimée à 200.000FR est passée par là. Pour des sources sures c’est une facture d’environ deux cent mille francs cfa qui fait que la Senelec lui prive d’électricité. La première radio urbaine du Djoloff, baptisée sous le nom de sa maman est devenue aphone laissant ses auditeurs dans le vide ou pour autre alternative de tourner vers l’onde de la radio Djoloff FM d’Aly Ngouille Ndiaye.
Entre autres projets des libéraux, la permanence du parti démocratique sénégalais dont sa construction sur un espace public avait fait de vives polémiques et de contestations entre l’édile de la ville et une partie de la jeunesse sert aujourd’hui de refuge pour les animaux errants. Les travaux sont en arrêt depuis longtemps.
Ndèye Minguè SECK