EXCELLENCE,
Encore une fois, je reviens vers vous, pour l’affaire du « faux docteur Aziz Moustapha, président du faux centre international des affaires Stratégiques ». Cela, après vous avoir fourni des informations à travers une lettre en date du 3 Novembre 2014 concernant la distinction de votre honorable épouse, Marième Faye, par un supposé centre international des affaires stratégiques « femme de l’année 2013 ». Et, après avoir adressé des correspondances sur la même question à votre premier ministre, à votre ministre de l’intérieur et de la sécurité publique et enfin, à votre ministre de la justice et garde des sceaux.
Dans la même correspondance, je vous avais alors fourni des preuves et des liens. Mais aussi, le contact des personnes citées et l’historique de ce personnage flou, ayant entraîné les drames partout où il est passé. Un criminel autorisé qui ne mérite même pas d’être introduit en votre présence. Car, le Président Sage et Responsable que vous êtes, d’un grand pays et d’un peuple noble que nous chérissons tous, nous marocains, mérite respect et considération. Au lieu d’utiliser malicieusement votre sympathie, votre confiance, votre humilité et votre simplicité pour en tirer bénéfice et se présenter faussement comme étant une clé. Alors qu’en vérité, c’était plutôt un drame qui venait d’être causé ce soir du 19 décembre 2013 : Un homme, un criminel transafricain, trafiquant d’armes reconnu, monte une configuration criminelle, ou la présidence du Sénégal et mon père sont utilisés pour servir son simple intérêt ou celui de ses créateurs et ses entretiens.
J’avais le cœur réchauffé lorsque, ce matin du 11 novembre 2014, j’ai écouté votre message sur mon téléphone alors que vous vous apprêtiez à partir en voyage. Vos mots réconfortants et paternels, m’ont fait penser et j’avais fait un beau rêve ou vous étiez mon ange bienfaiteur. Un ange qui a m’a pris par la main, pour m’introduire dans un monde de la vérité, de la justice et des droits pour retrouver sainement mon père et m’aider à combattre ce démon du mal qui a tout détruit sur son passage.
Ce rêve a duré jusqu’au 13 novembre 2014, quand Monsieur Aziz Moustapha, dans une conférence de presse tenue à Casablanca a déclaré « ce centre, le plus important de lui a été fait ici au Maroc. Ce centre est un instrument secret pour servir les intérêts du Maroc, les gens qui y sont, ne sont pas à Jamaàa Lafna pour dire…. ». Cela veut tout dire.
Il réagissait à une lettre ouverte à SM LE ROI du Maroc, que Dieu glorifie que ma mère avait envoyé par voie de presse, le 6 novembre 2014. C’était pour l’éclairer l’opinion sur les contours qui accompagnent un procès en justice en Casablanca. Dans cette bataille judiciaire, ce Monsieur a utilisé mon père pour porter plainte contre mon frère et le mettre en prison. Il s’agit là, d’un procès monté de toute pièce, soutenu sûrement par des forces tapies dans l’ombre.
A travers cette confrontation judiciaire, ce criminel est en de nous dépouiller de tous nos bien et détruire en même temps notre belle famille. Puisqu’il l’a affirmé en public qu’ils financent la diplomatie parallèle du Maroc. Et, nous faisons confiance en la justice de notre pays dans le procès en cours à Casablanca.
J’ai compris alors, que tout a été mis en place pour me présenter comme un moins que rien, qui ne sait pas ce qu’il fait. Ainsi, pour éviter des suites défavorables, ce monsieur a certainement fait appel à ses soutiens officiels et officieux pour discréditer ma thèse. Ils ont même utilisé mon père pour me désavouer et conforter leurs explications.
Lorsqu’on remet certains faits dans leurs contextes historiques, ce centre, son inauguration à Rabat, les liaisons que ce monsieur a utilisé pour s’accaparer de mon père et l’attirer dans une aventure sans fin. Le tout, sur un chantier de faux. Une aventure de peur que mon père malade n’a jamais connu et vécu. Ils nous reviennent que cette situation de prise d’otage de mon père relève de l’intelligence maléfique organisée et mise en œuvre par ce criminel.
Alors, il fallait travailler pour renforcer des alliances, avec tous les honorables hommes libres et assoiffés de justice dans tous les pays ou ce monsieur a agi en criminel et en hors la loi. La liste de ses crimes à travers l’Afrique est longue, au Mali, en Cote d’Ivoire, comme en Guinée Equatoriale, en France, en Angleterre et dans votre honorable pays, le Sénégal. Et, un mouvement de la société civile s’est déclenché, les preuves sont indiscutables. Ces dires et ses actions sont mémorisés et enregistrés. Monsieur Aziz Moustapha est un démon de notre Afrique partagée, que nous avons tous, l’obligation d’agir pour l’en débarrasser.
Réagissant à cette action dans votre pays, et pour contrecarrer le travail formidable qu’accomplissent ces jeunes sénégalais et ces braves sénégalaises qui ont senti le déshonneur de sa mise en scène, qui n’ont pas besoin de lui et de son cinéma mensongère pour respecter et considérer leur première dame. Ces derniers, refusent la soumission aux criminels et escrocs et qui croient en la justice de leur pays. Ce monsieur a encore demandé à mon père de réagir à sa place en envoyant un huissier de justice à un organe de presse de votre pays, tout en exigeant la publication de son droit de réponse à l’interview que j’avais accordé à cet organe de presse de votre pays.
Quand vous aurez lu cette explication, vous allez comprendre combien mon père croit vraiment en ce Monsieur comme si c’était un demi-dieu. Il a fait croire à mon père qu’il est plus intelligent, plus fort et plus ancré dans l’histoire des organisations internationales que monsieur Kofi Annan, que Monsieur Felipe Gonzalez. Pire encore, vous vous rendrez compte vous-même, que mon père est, soit un malade mentale, soit entièrement sous l’emprise de ce Monsieur et de ses soutiens opaques qui continuent à lui faire croire que le potentiel relationnel de ce criminel est vraiment réel.
Voyez de vous-même que mon père est contraint d’écrire ce que lui dicte ce Manitou du crime, cette voix du mal organisé, car son droit de réponse est signé au domicile de ce monsieur à Paris.
Ces sénégalais libres et patriotes demandent à la justice sénégalaise d’exiger de ce Monsieur, les preuves de l’existence de son centre dont le site internet qui lui servait de fenêtre comme appât a été fermé par la justice anglaise suite à la plainte de Royal United Service Institut. En plus, de confirmer la présence dans son conseil d’administration des personnes citées pour se donner de l’importance lors de la mise en scène de sa distinction et de fournir à la justice sénégalaise la liste des votants et leurs coordonnés. D’expliquer ce qu’il voulait dire lors de sa conférence de presse du 13 novembre 2014 à Casablanca.
Excellence,
Ces honorables citoyens sénégalais ont besoin de votre appui moral pour que la justice décide de ces vérités, pour que la vérité éclate et que chacun ait ce qu’il mérite.
Pour l’honneur de votre pays, pour votre disposition sans cesse à servir notre continent, je vous prie monsieur le Président MACKY SALL de cautionner cette voix de la justice que nous nous sommes réunis pour faire éclater partout.
Joignez-vous à nos sincères approches, pour débarrasser l’Afrique de ce démon de mal.
Tout en espérant que ma demande suscite votre intérêt et votre approbation, je reste à votre disposition pour tout complément d’informations.
Dans cette attente, veuillez croire excellence, en mes respects et hautes considérations.
Et que vive l’historique relation fraternelle et amicale, que nos nobles aïeux, sénégalais et marocains ont bâtie.
Fait à Casablanca en date du 10 janvier 2015-01-10
BADR JAKHOUKH BEN LAHCEN.