Que Moustapha Cissé Lô, Mor Ngom, Alioune Badara Cissé et Mouhmoud Saleh de l’Alliance pour la République (APR) qui bien que de la même formation politique au pouvoir qui se signalent à l’opinion à travers des critiques qu’ils se jettent à la figure, se le tiennent pour dit. Le président Macky Sall n’a pas du temps pour « ces querelles intestines ».
Entre la gestion des affaires de l’Etat, le manque de potentiel de certains de ses collaborateurs, les remous à l’Assemblée nationale, le malaise dans les échanges des échanges commerciales et banquaires et la dernière en date le scandale autour du trafic de drogue qui éclabousse les plus hautes sphères de la police à savoir l'ex et l'actuel Directeur Général de la Police Nationale (DGPN), Codé Mbengue pour avoir reçu de l'argent et Abdoulaye Niang d'être lui-même narcotrafiquant, il est fort occupé pour ne pas dire submergé.
« Cela me prend tout mon temps et la bonne marche de l'Etat est la priorité par-dessus toute autre chose", assène le secrétaire général de l'APR qui ne manque d'enfoncer le clou.
"Il nous faut pas en rajouter », sur les colonnes du journal "L'Observateur" qui précise que le président "se gratte le cuir chevelu pour trouver le profil idéal d'hommes et de femmes qui doivent donner corps à son "Yoonu Yokkuté" pour la nation.