EnQuête a dressé le portrait de l’homme d’affaires australo-roumain, Frank Timis, principal acteur dans les polémiques autour du pétrole qui secouent le pays depuis un moment.

Les jeux de mots sur son nom Timis, traduction wolof de crépuscule, ne sont pas infondées, si l’on en croit le pedigree de l’homme d’affaires qui ne plaide pas en sa faveurs.

Du 22 septembre 1982 au 18 janvier 1994, Vasile Frank Timis a eu à faire face à la justice à 14 (quatorze) reprises. 13 (treize) cas plus ou moins mineurs comme le vol, les excès de vitesse, une tentative de gains financiers par la tromperie, la mauvaise conservation d’explosifs, la fourniture et cession d’héroïne constituent le chapelet de délits de l’Australo-roumain, d’après le casier judiciaire qu’il a adjoint à sa déclaration devant le comité de la bourse australienne, le 2 juin 2010. Mais la quatorzième a été la goutte d’eau de trop, puisqu’il a été pris avec une quantité importante d’héroïne et a dû payer une amande de 17 000 dollars australiens.

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