Se félicitant du choix porté sur lui, le parrain de cette deuxième édition, Omar Niang s’est d’abord réjoui de cette initiative avant d’exhorter les étudiants à travailler d’avantage ‘’en assistant régulièrement aux cours’’. Abondant dans le même sens, la marraine Mme Dia Seyni Diaw a appelé les étudiants à s’armer de ‘’courage’’ et d’’’endurance’ pour faire face aux difficultés liées aux études. Par ailleurs un documentaire portant sur les activités de l’Aeerm a été projeté ainsi qu’une présentation du site web de Mbeuleukhe, faite par Daouda Diaw, ingénieur informaticien. Auparavant, dans son discours d’ouverture, la présidente de l’AEERM Coumba Dia a remercié toute l’assistance pour leur disponibilité et l’ensemble des membres de l’amicale pour leur confiance en sa personne. Elle a en outre dégagé les objectifs de la structure : favoriser l’entraide entre étudiants, participer au développement socio-économique de leur localité, entres autres. Consciente des conditions sociales difficiles à l’Ucad, la présidente a lancé un appel à l’endroit des bonnes volontés ressortissantes de Mbeuleukhe pour aider les étudiants à disposer des logements aux alentours de l’université. Ceci, pour leurs permettre de poursuivre confortablement leurs études. Se prononçant sur le choix du thème du panel, la présidente soutient que les étudiants veulent apporter leur pierre dans l’édification de la nouvelle commune. Le représentant des élèves de Mbeuleukhe, Moussa Niang s’est d’abord félicité de l’invitation à cette cérémonie avant de transmettre les remerciements de ses camarades à l’endroit de leurs frères étudiants. Parlant au nom du RAM (Rassemblement pour l’Avancement de Mbeuleukhe), leur représentant Daouda Diaw, a d’abord magnifié cette tribune d’échanges avant d’appeler à tout un chacun de conjuguer les efforts afin de travailler pour l’intérêt suprême et vital de notre village. La fête s’est terminée sur quelques notes musicales avec quelques pas de danses (du Youza et de la Goana), esquissés çà et là, aussi bien par les charmantes jeunes filles de l’AEERM, que les playboys.
Abdou DIAW