Le Roi du Maroc a prononcé, le 29 avril 2018, un discours lors du 1er Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de la Commission Climat et du Fonds Bleu du Bassin du Congo, qui s’est ouvert dans la capitale congolaise Brazzaville.
D’entrée, le Roi Mohammed VI a indiqué que le Maroc s’est toujours mobilisé et a déployé l’expertise acquise en matière de lutte contre les changements climatiques pour assurer la réussite du projet ambitieux de transformer en opportunités les défis climatiques.
C’est pourquoi, le Souverain marocain a choisi de soutenir ce programme, car il est fondé sur un nouveau paradigme qui répond aux besoins présents et futurs. Il s’appuie, en effet, sur des programmes intégrés, inclusifs et solidaires de la nouvelle économie bleue et verte.
Le Roi du Maroc a fortement signalé que « la dimension humaine devrait être placée au coeur de ce projet » ; le but étant de créer « une dynamique vertueuse », indiquant que « le véritable enjeu est la sauvegarde et la valorisation d’un patrimoine africain précieux : le Fleuve Congo », un devoir envers les 200 millions d’Africaines et Africains qui vivent dans le Bassin du Congo.
Ainsi, pour le Souverain marocain, la mise en place de ce Fonds bleu doit s’accompagner de la mobilisation de tous les acteurs économiques et de la société civile, pour que s’engagent des actions concrètes d’atténuation et d’adaptation, et que soit garantie l’émergence d’un mode résilient de développement.
« Nous sommes résolus à mettre en œuvre des initiatives concrètes, susceptibles de préserver les droits des générations à venir », a dit le Souverain marocain, ajoutant que le Maroc œuvrera, sans relâche et avec détermination, pour la concrétisation des grands projets structurants du continent africain.
C’est pourquoi, « le défi écologique ne doit plus être perçu comme une menace, mais comme une priorité. C’est le sens de notre engagement commun aujourd’hui, un engagement placé sous les principes de la responsabilité partagée et de la solidarité panafricaine », a conclu le Roi Mohammed VI.
A noter qu’ont participé à ce premier Sommet du Fond bleu, outre le Roi du Maroc et le Président congolais, Paul Kagame (Rwanda et Président de l’Union africaine), Teodoro Obiang Nguema (Guinée Equatoriale), Macky Sall (Sénégal), Joao Lourenço (Angola), Ali Bongo Ondimba (Gabon), Faustin Archange Touadera (Centrafrique), Mahamadou Issoufou (Niger), Alpha Condé (Guinée) et Evaristo Carvalho (Sao Tomé et Principe). En revanche, la République Démocratique du Congo, le plus grand pays de la région et le seul que traverse tout le fleuve Congo, n’était représenté qu’au niveau ministériel.
Farid Mnebhi.
D’entrée, le Roi Mohammed VI a indiqué que le Maroc s’est toujours mobilisé et a déployé l’expertise acquise en matière de lutte contre les changements climatiques pour assurer la réussite du projet ambitieux de transformer en opportunités les défis climatiques.
C’est pourquoi, le Souverain marocain a choisi de soutenir ce programme, car il est fondé sur un nouveau paradigme qui répond aux besoins présents et futurs. Il s’appuie, en effet, sur des programmes intégrés, inclusifs et solidaires de la nouvelle économie bleue et verte.
Le Roi du Maroc a fortement signalé que « la dimension humaine devrait être placée au coeur de ce projet » ; le but étant de créer « une dynamique vertueuse », indiquant que « le véritable enjeu est la sauvegarde et la valorisation d’un patrimoine africain précieux : le Fleuve Congo », un devoir envers les 200 millions d’Africaines et Africains qui vivent dans le Bassin du Congo.
Ainsi, pour le Souverain marocain, la mise en place de ce Fonds bleu doit s’accompagner de la mobilisation de tous les acteurs économiques et de la société civile, pour que s’engagent des actions concrètes d’atténuation et d’adaptation, et que soit garantie l’émergence d’un mode résilient de développement.
« Nous sommes résolus à mettre en œuvre des initiatives concrètes, susceptibles de préserver les droits des générations à venir », a dit le Souverain marocain, ajoutant que le Maroc œuvrera, sans relâche et avec détermination, pour la concrétisation des grands projets structurants du continent africain.
C’est pourquoi, « le défi écologique ne doit plus être perçu comme une menace, mais comme une priorité. C’est le sens de notre engagement commun aujourd’hui, un engagement placé sous les principes de la responsabilité partagée et de la solidarité panafricaine », a conclu le Roi Mohammed VI.
A noter qu’ont participé à ce premier Sommet du Fond bleu, outre le Roi du Maroc et le Président congolais, Paul Kagame (Rwanda et Président de l’Union africaine), Teodoro Obiang Nguema (Guinée Equatoriale), Macky Sall (Sénégal), Joao Lourenço (Angola), Ali Bongo Ondimba (Gabon), Faustin Archange Touadera (Centrafrique), Mahamadou Issoufou (Niger), Alpha Condé (Guinée) et Evaristo Carvalho (Sao Tomé et Principe). En revanche, la République Démocratique du Congo, le plus grand pays de la région et le seul que traverse tout le fleuve Congo, n’était représenté qu’au niveau ministériel.
Farid Mnebhi.