Les Autorités Administratives et locales ne veulent plus voir des moins de 18 ans conduire des motos taxis Jakarta à Linguère. Ces engins à deux roues, quoiqu’ayant récemment rejoint le décor du transport urbain à Linguère, font trembler les populations de par leur circulation, par la conduite de jeunes insouciants et notamment très imbus de la vitesse et de l’acrobatie au guidon.

 L’autorité administrative invite les populations Djolof-Djolof à la vigilance. «Je voudrais lancer un appel aux populations de Linguère en particulier et celles du département en général sur la mobilité par calèches et motos taxis Jakarta. Il s’agit de faire preuve de responsabilité aussi bien de la part des conducteurs que des usagers», a lancé Monsieur Ndao, avant de rappeler la prohibition par la loi du travail des enfants, c’est-à-dire des moins de 18 ans.

Il a, en outre, exhorté à la sensibilisation permanente des acteurs routiers sur les dangers encourus à enfreindre la législation routière. Il a notamment mis l’accent sur le respect d’un minimum de sécurité à prévoir dans la conduite des véhicules de tous genres. Thierno Diop, le chargé de la commission halles et marché de la Mairie de Linguère a, quant à lui, supplié les conducteurs de Jakarta, à immatriculer leurs motos. «Il y a un désordre qui règne chez les conducteurs de motos “Jakarta“, une anarchie totale.
 La Mairie n’acceptera plus que les enfants de moins de 18 ans, sans la carte nationale d’identité ni plaques d’immatriculation, circulent avec les engins à deux roues». «Les réfractaires et récidivistes, poursuit-il, verront leurs motos garées lorsque la gendarmerie s’y mêle». Dans sa noble mission de sécurisation permanente, la gendarmerie ne badine pas non plus avec toute circulation d

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