Le départ d’Evo Morales sonne le glas des polisariens en Bolivie
La citadelle pro-polisarienne en Amérique Latine, à savoir la République de Bolivie, vient de réussir un coup de maître en se débarrassant magistralement, le 10 novembre 2019, de son Président Evo Morales.
Le dictateur de La Paz, Evo Morales, autocrate connu pour son grand soutien aux terro-polisariens, a été acculé à rendre son tablier par le peuple bolivien, soutenu par la police et l’armée, après trois semaines de vives contestations suite à sa réélection à un quatrième mandat très controversé.
Cet Evo Morales avait été élu à la Présidence bolivienne en 2006 et depuis, il n’a eu de cesse de manifester son hostilité envers le Maroc en soutenant les terro-polisariens, dont les soi-disant délégués étaient accueillis en grandes pompes sans parler des accointances qu’il entretenait avec le chef de bande Brahim Ghali lequel était qualifié de « grand pote » par le Président bolivien déchu.
Il était de notoriété publique, qu’en Amérique Latine, la Bolivie était un allié stratégique pour le chef terro-polisarien, Brahim Ghali, et n’avait jamais changé d’un iota sa position, optant pour un alignement aveugle aux terro-polisariens et ce, depuis décembre 1982.
Aussi, avec la mise à la porte du dictateur bolivien, Evo Morales, une autre citadelle Sud-Américaine des terro-polisariens est sur le point de tomber et ouvre la voie à l’avènement de la droite bolivienne et, surtout, à un retour à des relations diplomatiques normales avec le Maroc, tout comme ses voisins, Brésil, Paraguay, Argentine, Chili et Pérou qui soutiennent la défense de l’intégrité territoriale du Maroc.
Le départ du dictateur Evo Morales ouvrira très certainement la voie à l’avènement de la droite bolivienne. Un espoir d’autant plus permis que le peuple bolivien veut tourner au plus vite la page Morales.
A quand le grand coup de pied des boliviens à ces terro-polisariens ?
Farid Mnebhi.