Une invitation vient d’être lancée, le 04 octobre 2019, par le Parti Communiste Français (PCF) dans laquelle il appelle à une seconde « fête de l’huma », le 12 octobre 2019 place de la République à Paris et ce, dès 15h00 sonnante et trébuchante, saucisses, merguez, cochonaille, bière et limonade ainsi que musiques assurées.
Le thème de cette rencontre automnale aurait pu être la mise en œuvre des résolutions onusiennes en faveur des sahraouis marocains internés dans les camps de la honte de Tindouf en Algérie.
Tout simplement, cette manifestation a été détournée par les têtes pensantes du PCF, en communion avec les terro-polisariens et leurs mentors algériens afin que cette rencontre automnale parisienne soit une opportunité, selon la Coordination des associations de soutien au Sahara occidental en France, pour les participants, la communauté sahraouie établie en Europe et les associations solidaires avec les Sahraouis dans leur combat, pour dénoncer les pseudo violations des Droits Humains perpétrées par le Maroc dans sa province saharienne.
Un rassemblement qui fait également suite à un appel de la Coordination des Associations de la Communauté Sahraouie en France et en Europe et de la Plateforme française pour l’illusoire solidarité avec le fantomatique peuple du Sahara occidental, a rappelé le MRAP, une des succursales pro-terroristes sise en France à la solde du régime algérien de Gaïd Salah, dans un communiqué publié, le 07 octobre 2019, sur son site.
Cette nouvelle « Fête de l’Huma » aura donc pour unique thématique la demande au Conseil de Sécurité des Nations Unies d’étendre le mandat de la MINURSO à la surveillance des Droits Humains au Maroc, exiger de la France son renoncement à son soutien au Maroc en plus de demander la libération des tueurs de Gdeim Izik. Non ! Mais on croit rêver ! Voir certains français tomber si bas ! Ces communards ne représentent qu’une infime partie négligeable du peuple français en mal d’aura et donc aucune inquiétude !
Quoi qu’il en soit ce remue-ménage orchestré par les communistes français fait suite à un étalage de mensonges grossiers perpétré par le site algérien « algerie7.com » dans lequel il s’est fendu sans vergogne dans un article, signé par Abdel Fakry et grassement financé par le régime vert kaki algérien d’Ahmed Gaïd Salah, au profit des terro-polisariens.
Un ténébreux article dans lequel faussement affirmé que les forces de sécurité marocaines auraient violemment réprimé, dans la nuit du 02 au 03 octobre 2019, une manifestation pacifique des chômeurs sahraouis dans la ville d’El-Ayoun.
Selon des médias sahraouis sur place, qui n’existent que chez ce décérébré de journaliste écervelé, une nouvelle nuit de violence aurait éclaté, le 03 octobre 2019 au soir dans la ville d’El-Ayoun, où les forces marocaines seraient intervenues violemment pour réprimer la manifestation pacifique des jeunes chômeurs sahraouis, précisant que le nombre de blessés et de détenus imputables à l’intervention de la police marocaine n’est pas encore connu.
Poussant son mensonge à l’extrême, ce plumitif a affirmé que, selon des défenseurs des Droits Humains à El-Ayoun ainsi qu’un rapport d’Amnesty International, des manifestations pacifiques auraient été enregistrées dans cette ville marocaine au cours desquelles des drapeaux de la pseudo RASD auraient été brandis et des slogans anti marocains scandés. De quoi faire rire les oiseaux !
Quant à la députée française de gauche radicale Mathilde Panot elle n’a pas été interpellée en Algérie contrairement aux allégations de son groupe politique à l’Assemblée Nationale française, a affirmé, le 07 octobre 2019, le Ministre algérien des Affaires Etrangères, Sabri Boukadoum. Non ! Il a pris certainement une bonne dose de karkoubi (drogue purement algérienne) avant de faire sa déclaration à dormir debout !
S’agissant du décérébré Sabri Boukadoum voici sa fumeuse déclaration qu’il a osé faire en l’objet : « Mathilde Panot est une députée en France et non en Algérie, sa participation aux marches en Algérie pourrait être interprétée comme une ingérence étrangère et une atteinte à la souveraineté nationale, ajoutant qu’il n’y avait pas eu d’arrestation ». Plus fort que ça tu crèves !
Or, voici les faits réels tels que confirmés par son groupe « La France Insoumise » : « Mathilde Panot a été interpellée le 1er octobre 2019 à Béjaia et ramenée sous escorte policière à Alger pour y être placée sous surveillance dans un hôtel avant d’être expulsée vers la France ».
Mieux, dans un message sur Facebook, la députée du Val-de-Marne, avait expliqué s’être rendue en Algérie pour y rester plusieurs jours en tant que militante de la révolution citoyenne et pour y rencontrer les acteurs et actrices du mouvement populaire mais aussi pour y dénoncer des incarcérations et condamnations abusives de manifestants.
Aussi une manifestation pro-terroriste polisarienne devrait se tenir au même moment que celle des gilets jaunes, le samedi 12 octobre 2019. Bonjour les dégâts et bon courage aux forces de sécurité parisiennes et françaises ! De quoi faire pleurer les français, eux qui voient leur manifestation détournée par des terroristes polisariens, par des algériens affidés à Ahmed Gaïd Salah ainsi que par leurs alliés communistes français en pleine débâcle interne et en quête de pétrodollars algériens ! Les élections municipales françaises sont toutes proches et le PCF a besoin de flous (d’argent) sonnant et trébuchant !
Au fait, on espère voir les forces de sécurité françaises agir de manière ferme envers ces terro-polisariens et leurs soutiens algériens sur la Place de la République à Paris et ailleurs en France en procédant à leur arrestation puis à leur expulsion, à leur frais, chez leur envoyeur sis à Alger pour trouble grave à l’ordre public français et ce, comme il a été fait avec la député Mathilde Panot et la délégation l’accompagnant.
Farid Mnebhi.