Une saisissante affaire de partage d’une vidéo 0bscène fait grand bruit dans la commune De Dahra Djolof. Cette affaire est même devenue le principal sujet de discussion des grands places, ou l’on s’interroge sur les véritables raisons qui ont poussé trois mineurs, dont deux membres d’une même famille, à publier cette vidéo accablant leur cousine.

De sources concordantes proches de cette affaire ébruitée par les pandores de la brigade de Dahra Djolof, ladite vidéo est d’autant plus compromettante qu’elle montre une dame n*e comme un ver de terre, se livrant à des actes érotiques.

Une vidéo rendue célèbre par les trois mineurs par le moyen d’un partage via les réseaux sociaux. Ayant ouvert une enquête pour cerner les responsabilités, les pandores de la brigade locale ont d’abord convoqué la dame en question. Amenée à s’expliquer sur les circonstances qui l’ont amenée à s’auto filmer n*e, ses véritables motivations…, la dame a dit assumer ses actes pris dans un cadre privé.

Domicilié au quartier Médina Ndiaye, elle s’était mue en actrice p0rno, en se livrant à des actes extr@vagants que la morale nous interdit d’écrire. Décidé à tirer au clair cette affaire, le commandant de la dite brigade a cherché à identifier les personnes qui ont publié la vidéo en question. La victime qui avait une idée claire sur ces derniers avait vertement accusé un de ses cousins avec qui elle partage la même maison : ‘’Après m’être auto-filmée n*e, j’ai laissé mon portable dans ma chambre et je suis sortie. En mon absence, mon cousin en question avec qui j’entretiens des rapports conflictuels, est entré dans ma chambre et a pris mon portable.

Ayant découvert la vidéo, il l’a récupérée dans le but d’en faire une large diffusion via les réseaux sociaux dont WhatsApp. Ce qu’il a fait en transférant la vidéo à des conducteurs de moto Jakarta. Puis, deux autres membres de ma famille qui sont entrés en possession de la vidéo, l’ont envoyée aussi à leurs amis. C’est ce qui explique la popularité de la vidéo qui a fait le tour de la ville, en un laps de temps’’, confie-t-elle en larmes.

Menant ses investigations, les gendarmes ont convoqué les trois mineurs, dont une jeune élève en classe de 3e. Entendus, ils ont nié avoir filmé leur cousine, mais ont reconnu avoir partagé la vidéo compromettante.

A la suite de ces aveux circonstanciés, les mis en cause ont été retenus dans les liens de la détention. Au terme de leur garde à vue, les 3 mineurs ont été déférés au parquet de Louga. Ils sont poursuivis pour diffusion de film à caractère p0rnographique. A l’issue de leur face à face avec le maitre des poursuites, ils ont cependant bénéficié d’une liberté provisoire. Toutefois, l’affaire sera enrôlée sous peu devant le tribunal des mineurs rapporte l’observateur

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