Il n’y a pas de doute, l’entrée, tant attendue, du Maroc à la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sera remarquablement porteuse d’une vitalité et d’une nouvelle vision à même de modifier la coopération Sud-Sud et boostera l’intégration africaine.
Pour exemple, il y a lieu de citer le secteur agricole, notamment ceux travaillant dans le domaine des cultures vivrières, qui devraient assister à un accroissement des rendements et, donc, des revenus et ce, grâce aux engrais adaptés à leurs cultures suite à l’expertise du groupe marocain de l’Office Chérifien des Phosphates (OCP).
De plus l’adhésion programmée du Maroc à la CEDEAO est porteuse d’opportunités et de compétences avec la venue, à ne point en douter, d’entreprises marocaines, l’accroissement et l’élargissement des activités de celles déjà présentes dans les pays de la CEDEAO.
L’entrée du Maroc à la CEDEAO, représentant 15 pays et 320 millions d’habitants, contribuera à concrétiser l’intégration économique et la promotion du développement humain de toute une région et ce, dans le prolongement de l’Union Africaine (U.A) où les mots union, sécurité et paix ont un véritable sens.
C’est pourquoi, il est dans l’intérêt des pays africains de consolider la paix et la stabilité pour qu’ils puissent réaliser leurs intérêts communs tout en restant fidèles à l’Histoire commune des peuples d’Afrique.
Aussi, les africains se doivent de considérer la date du 20 août comme une révolution annuelle qui se renouvelle et se prolonge à travers ses effets au Maghreb et en Afrique.
En effet, le contexte historique de la Révolution du 20 août 1953 a fait du rappel de la chronologie historique une nécessité pour raviver la mémoire collective de l’histoire commune entre le Maroc et le continent africain.
Celle-ci débute par la première opération pour le maintien de la paix au Congo, passant par la création du premier Ministère des Affaires Africaines, une tribune soutenant les mouvements de libération en Afrique jusqu’à la tenue de la réunion fondatrice de de l’ex-Organisation de l’Union Africaine (O.U.A) à Casablanca (Maroc), proclamée quelques d’années plus tard à Addis Abeba (Ethiopie) ; bref épisode des efforts inlassables fournis par le Maroc pour la construction de pays africains indépendants et souverains, après les sacrifices du combat commun consentis pour la liberté et l’indépendance.
Mais, les ennemis du Maroc, tout particulièrement le régime algérien et certains de leurs affidés africains et autres, ont tenté des complots historiques et politiques à son encontre en déstabilisant les relations entre Rabat et l’Afrique durant toute la seconde moitié du siècle dernier.
Le point d’orgue de cette opération de déstabilisation n’est autre que la tentative algérienne de couper le Maroc de sa profondeur africaine en manoeuvrant à l’admission au sein de l’ex-O.U.A de la pseudo RASD en 1984 ; un choix du régime algérien constituant une violation flagrante du droit et de la légitimité internationale du fait que le polisario ne jouit d’aucune caractéristique d’un Etat tel que défini par le droit international.
Mais avec le temps, la très grande majorité des Etats africains ont saisi la vérité. Une vérité qui aura pour point d’orgue le Sommet de l’Union Africaine (U.A) en Ethiopie en 2017 avec le retour du Maroc dans sa famille africaine.
Ce retour du Maroc constitue un véritable tournant historique et diplomatique majeur et une victoire politique contre les opposants qui ont essayé de barrer la route à la réintégration du Maroc dans sa maison africaine, en utilisant des méthodes classiques comme « les accusations préfabriquées » ou « l’achat de voix » dévoilant ainsi leur façon d’attirer certaines parties à adopter leur thèse « trompeuse », en échange de gaz ou de pétrole !
Mais le Maroc, fort de la justesse de sa vison africaine, a toujours adopté une approche basée sur une politique solidaire et la conclusion de partenariats équilibrés, pour l’intérêt bien compris des peuples africains, en lançant des mégaprojets structurants de développement comme le gazoduc, la construction de complexes de production d’engrais, ou des projets de développement humain dans les domaines de la santé, de la formation et bien d’autres projets.
Les calculs conjoncturels n’ont pas été déterminants dans le choix du Maroc de se tourner vers l’Afrique, mais le fruit des efforts et de l’activisme de la diplomatie Royale à travers plus de cinquante visites auprès de 29 pays. Cette démarche marocaine s’inscrit dans une approche bien établie héritée des ancêtres du Roi et du peuple marocains et qui disposaient d’une connaissance aussi riche que pointue de la réalité africaine.
Le Maroc, n’en déplaise à ses ennemis, sera très bientôt intégré à la CEDEAO avec un dynamisme à partager et une nouvelle vision, portée par le Roi Mohammed VI, qui révolutionnera la coopération Sud-Sud et boostera l’intégration africaine.
Cette entrée du Maroc à la CEDEAO donnera, sans en douter, le tournis aux dirigeants algériens, eux dont leur pays se trouvera, dès novembre 2017, en cessation de paiement de ses fonctionnaires, fera tourner la planche à billets à tour de bras et sera au bord d’une grave crise sociale pouvant déboucher sur des émeutes incontrôlables par le régime d’Alger, le tout face au terrorisme dont elle héberge une bonne partie d’entre eux pour déstabiliser les pays sahélo-sahariens et nombre d’Etats africains, le tout sans compter les bandes armées polisariennes présentes sur son territoire et lourdement armées par l’Algérie pour s’attaquer stupidement au Maroc.
De plus, autre défaite cinglante, les nervis polisariens, à la solde du régime algérien, ont, et il faut le rappeler, tenté de perturber un concert ayant réuni, le 17 septembre 2017, au Parc Départemental George-Valbon à la Courneuve, en région parisienne, un concert de musique hassanie animé conjointement par le groupe marocain Doueh et le groupe punk français Cheveu.
La tentative algéro-polisarienne, lors de cette 82ème édition de la Fête de l’Humanité (Parti Communiste Français) n’a attiré que mépris et indifférence envers cette brochette de trublions pro-polisariens venue s’adonner à des slogans et des fanions séparatistes dans une manifestation de joie et de fête organisée en l’honneur du peuple de Gauche français.
Un comportement irrévérencieux la fois envers l’initiateur de cette fête, en l’occurrence le Parti Communiste Français, et ses hôtes venus nombreux s’associer et partager un moment privilégié autour de la musique hassanie.
Simplement pitoyable de la part de ces nervis séparatistes, à la solde du régime algérien, qui veulent faire feu de tout bois pour tenter d’attirer l’attention sur une cause chimérique.
Pour exemple, il y a lieu de citer le secteur agricole, notamment ceux travaillant dans le domaine des cultures vivrières, qui devraient assister à un accroissement des rendements et, donc, des revenus et ce, grâce aux engrais adaptés à leurs cultures suite à l’expertise du groupe marocain de l’Office Chérifien des Phosphates (OCP).
De plus l’adhésion programmée du Maroc à la CEDEAO est porteuse d’opportunités et de compétences avec la venue, à ne point en douter, d’entreprises marocaines, l’accroissement et l’élargissement des activités de celles déjà présentes dans les pays de la CEDEAO.
L’entrée du Maroc à la CEDEAO, représentant 15 pays et 320 millions d’habitants, contribuera à concrétiser l’intégration économique et la promotion du développement humain de toute une région et ce, dans le prolongement de l’Union Africaine (U.A) où les mots union, sécurité et paix ont un véritable sens.
C’est pourquoi, il est dans l’intérêt des pays africains de consolider la paix et la stabilité pour qu’ils puissent réaliser leurs intérêts communs tout en restant fidèles à l’Histoire commune des peuples d’Afrique.
Aussi, les africains se doivent de considérer la date du 20 août comme une révolution annuelle qui se renouvelle et se prolonge à travers ses effets au Maghreb et en Afrique.
En effet, le contexte historique de la Révolution du 20 août 1953 a fait du rappel de la chronologie historique une nécessité pour raviver la mémoire collective de l’histoire commune entre le Maroc et le continent africain.
Celle-ci débute par la première opération pour le maintien de la paix au Congo, passant par la création du premier Ministère des Affaires Africaines, une tribune soutenant les mouvements de libération en Afrique jusqu’à la tenue de la réunion fondatrice de de l’ex-Organisation de l’Union Africaine (O.U.A) à Casablanca (Maroc), proclamée quelques d’années plus tard à Addis Abeba (Ethiopie) ; bref épisode des efforts inlassables fournis par le Maroc pour la construction de pays africains indépendants et souverains, après les sacrifices du combat commun consentis pour la liberté et l’indépendance.
Mais, les ennemis du Maroc, tout particulièrement le régime algérien et certains de leurs affidés africains et autres, ont tenté des complots historiques et politiques à son encontre en déstabilisant les relations entre Rabat et l’Afrique durant toute la seconde moitié du siècle dernier.
Le point d’orgue de cette opération de déstabilisation n’est autre que la tentative algérienne de couper le Maroc de sa profondeur africaine en manoeuvrant à l’admission au sein de l’ex-O.U.A de la pseudo RASD en 1984 ; un choix du régime algérien constituant une violation flagrante du droit et de la légitimité internationale du fait que le polisario ne jouit d’aucune caractéristique d’un Etat tel que défini par le droit international.
Mais avec le temps, la très grande majorité des Etats africains ont saisi la vérité. Une vérité qui aura pour point d’orgue le Sommet de l’Union Africaine (U.A) en Ethiopie en 2017 avec le retour du Maroc dans sa famille africaine.
Ce retour du Maroc constitue un véritable tournant historique et diplomatique majeur et une victoire politique contre les opposants qui ont essayé de barrer la route à la réintégration du Maroc dans sa maison africaine, en utilisant des méthodes classiques comme « les accusations préfabriquées » ou « l’achat de voix » dévoilant ainsi leur façon d’attirer certaines parties à adopter leur thèse « trompeuse », en échange de gaz ou de pétrole !
Mais le Maroc, fort de la justesse de sa vison africaine, a toujours adopté une approche basée sur une politique solidaire et la conclusion de partenariats équilibrés, pour l’intérêt bien compris des peuples africains, en lançant des mégaprojets structurants de développement comme le gazoduc, la construction de complexes de production d’engrais, ou des projets de développement humain dans les domaines de la santé, de la formation et bien d’autres projets.
Les calculs conjoncturels n’ont pas été déterminants dans le choix du Maroc de se tourner vers l’Afrique, mais le fruit des efforts et de l’activisme de la diplomatie Royale à travers plus de cinquante visites auprès de 29 pays. Cette démarche marocaine s’inscrit dans une approche bien établie héritée des ancêtres du Roi et du peuple marocains et qui disposaient d’une connaissance aussi riche que pointue de la réalité africaine.
Le Maroc, n’en déplaise à ses ennemis, sera très bientôt intégré à la CEDEAO avec un dynamisme à partager et une nouvelle vision, portée par le Roi Mohammed VI, qui révolutionnera la coopération Sud-Sud et boostera l’intégration africaine.
Cette entrée du Maroc à la CEDEAO donnera, sans en douter, le tournis aux dirigeants algériens, eux dont leur pays se trouvera, dès novembre 2017, en cessation de paiement de ses fonctionnaires, fera tourner la planche à billets à tour de bras et sera au bord d’une grave crise sociale pouvant déboucher sur des émeutes incontrôlables par le régime d’Alger, le tout face au terrorisme dont elle héberge une bonne partie d’entre eux pour déstabiliser les pays sahélo-sahariens et nombre d’Etats africains, le tout sans compter les bandes armées polisariennes présentes sur son territoire et lourdement armées par l’Algérie pour s’attaquer stupidement au Maroc.
De plus, autre défaite cinglante, les nervis polisariens, à la solde du régime algérien, ont, et il faut le rappeler, tenté de perturber un concert ayant réuni, le 17 septembre 2017, au Parc Départemental George-Valbon à la Courneuve, en région parisienne, un concert de musique hassanie animé conjointement par le groupe marocain Doueh et le groupe punk français Cheveu.
La tentative algéro-polisarienne, lors de cette 82ème édition de la Fête de l’Humanité (Parti Communiste Français) n’a attiré que mépris et indifférence envers cette brochette de trublions pro-polisariens venue s’adonner à des slogans et des fanions séparatistes dans une manifestation de joie et de fête organisée en l’honneur du peuple de Gauche français.
Un comportement irrévérencieux la fois envers l’initiateur de cette fête, en l’occurrence le Parti Communiste Français, et ses hôtes venus nombreux s’associer et partager un moment privilégié autour de la musique hassanie.
Simplement pitoyable de la part de ces nervis séparatistes, à la solde du régime algérien, qui veulent faire feu de tout bois pour tenter d’attirer l’attention sur une cause chimérique.
On ne pourrait conclure ce papier, sans parler du grand tchatcheur qu’est le sieur Belani, représentant algérien en Belgique.
Non seulement il omet de représenter dignement les intérêts du peuple algérien dans ce pays, mais il se découvre une drôle de vocation d’avocat d’une pseudo cause sahraouie inventée de toutes pièces par ses maîtres galonnés tapis au club des Pins, à Alger.
N’est-il pas étonnant que ce monsieur Belani, Ambassadeur d’Algérie en Belgique, puisse consacrer ses cordes vocales, sa plume vénéneuse dans les colonnes de quotidiens algériens viscéralement haineux envers le Maroc, et tout son temps, à la prétendue cause sahraouie, et oublier en même temps celle, vraie, du peuple algérien qui se meurt à petit feu et dans l’indifférence hallucinante de l’oligarchie ossifiée qui continue de piller les richesses de leur pays ?
Farid Mnebhi.