« Quand la grenouille suit les pas d’un cheval en galop, l’espoir de rejoindre le cheval à destination est possible » : le développement durable est un processus, les actes posés par le nouveau régime sont rassurants pour l’émergence

Le classement de sunugal à la 25e place des pays les plus pauvres du monde, nous oblige en tant que citoyens du pays de se remettre d’avantage au travail pour occuper une place honorable dans la scène internationale. Le développement est toujours endogène. Le Président Macky Sall a vite compris que l’agriculture, la bonne gestion et la rationalisation des ressources sont de véritables moyens de développement. Aujourd’hui, chaque sénégalais revient à son niveau de vie normale de 2012 à nos jours. La réorganisation d’un système économique participe à améliorer les conditions de vie de la population. Il s’ajoute à cela que la bonne politique prend en compte toujours la question sociale.
Le Sénégal est un pays qui a tous les atouts pour un développement durable. L’espace et la main d’œuvre ne sont –ils pas des moyens de développement, si la terre est exploitée par l’Etat ? Les grandes puissances ont réussi grâce à l’agriculture qui est gérée dans des espaces biens administrés.
La compétence, l’efficacité, l’assiduité et la correction doivent être l’arme de chaque sénégalais à l’intérieur et à l’extérieur pour placer le pays parmi les espaces les plus développés au monde. Actuellement, la question de temps et d’espace est difficile à maitriser à cause des changements rapides des données jadis connues par l’homme. Il est possible que si chaque fils de la nation se met au travail convenablement et aussi qu’il soit animé par un esprit de vouloir participer au développement de son pays, le Sénégal aura toujours un bon classement sur le tableau des pays émergents.
Kallah classe notre pays parmi les contrés émergents de la planète.
Falilou Mbacké BA, professeur LHG et responsable du Centre de Documentation du lycée de Dahra