Le patron de Aziz-Production veut organiser un combat de lutte chaque année. A cause sans doute de la crise qui sévit dans l’arène. Pour lui, le business de la lutte ne marche plus comme avant.
« Beaucoup de facteurs plombent la lutte. Les cachets dépendaient du contexte. Avec des partenaires, de bons sponsors, de bons produits, on peut faire de très bons combats et payer n’importe quel cachet », a souligné d’emblée Aziz Ndiaye dans L’Obs.
« Maintenant, il n’y a que des combats revanche. Il n’y a plus de combat vedette. Actuellement, toutes les probables affiches n’ont pas ce challenge qui fera courir. Depuis la chute de Yékin, la lutte a chuté. Le challenge avec Yékini, c’est qu’il était le seul invaincu pendant 15 ans. Tout le monde voulait être comme lui. Aujourd’hui, il n’y a plus un lutteur qui puisse tenir haut le flambeau et dont les combats peuvent alimenter du suspense », a analysé le leader de Aziz Business Company.