La réaction du Président Sall, pour le remboursement des sommes ponctionnées au mois d’avril et le mois de mai, a été bien appréciée chez les enseignants et leurs les familles. En effet, un salaire ponctionné brise les fondements de la cellule de base de la société. Cette dernière a son prolongement à l’école où on l’appelle la seconde famille. Les commerçants, les restauratrices, les taximans, les talibés, les maçons et les propriétaires des maisons louées et les banquiers se réjouissent de la décision prise par le chef de l’Etat. Le Salaire nourrit une chaine composée des individus de la société. Toutes ces personnes citées ont souffert de la ponction du mois d’Avril 2015.
La grève est légitime, la ponction également normale, mais une vérité qui bouleverse les fondements d’une nation doit être utilisée par un sage. Le sage est celui qui a la lumière, la capacité de juger et de donner des solutions. Dans les cités justes les sages sont au commandement. Nous saluons la décision de Macky Sall, et nous invitons les autorités d’œuvrer toujours pour sauver l’éducation qui est le fondement du développement.
La population mondiale est jeune elle a besoin d’éducation et de formation. Le potentiel actuel du continent Africain repose sur sa population jeune. Au Sénégal, le pourcentage a dépassé celui des adultes et des vieux.
Formons et éduquons notre jeunesse pour assurer à notre pays de la téranga, un succès dans la scène continentale et internationale.
Falilou Mbacké BA, professeur LHG et Bibliothécaire au lycée de Dahra

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