Les populations de Widou Thingoli, un village situé dans la communauté rurale de Tessékéré croupissent dans la misère la plus absolue. Elles rencontrent toutes les peines du monde pour trouver de l’eau potable et des soins sanitaires de qualité. Le seul bassin existant, ne peut pas assurer la forte demande du liquide précieux, qu’est l’eau. Elles se rabattent sur un bassin à ciel ouvert. Un lieu où les hommes, les femmes, les enfants et les animaux pataugent dans la boue. Les canaux d’écoulement sont le lit de joutes larvaires et microbiennes. Pour l’infirmière chef de poste de Widou, Amy Faye, l’eau consommée n’est pas potable et cause des maladies diarrhéiques. ’Le problème récurrent c’est l’eau. Widou n’a pas pratiquement d’eau potable. Il m’arrive même de les sensibiliser et à les orienter pour qu’elles respectent les normes d’hygiène. Si on arrivait à avoir un château d’eau, ce serait mieux’ ’dit-elle
Selon madame Faye ‘’les femmes accouchent à domicile et se rendent rarement au poste de santé. Interpellées, elles nous disent que le poste est éloigné ou elles n’ont pas des moyens pécuniaires. ’’Souligne-t-elle avant de soutenir que ‘’les moyens logistiques font défaut car le poste n’a même pas un vélo ou une moto.’’
A l’infirmière de souligner que ‘’les patients sont évacués au poste de référence de Dahra par des voitures à ciel ouvert, communément appelées ‘’vopou-ya’ ’. Ces conditions ne sont pas adéquates pour un malade surtout les femmes en état de grossesse’’. Renchérit-elle.
La liste des maux est loin d’être finie, car la structure sanitaire n’est pas électrifiée. Les blouses blanches utilisent les solaires pour satisfaire les exigences énormes des populations et la nuit, l’énergie fournie n’est pas la meilleure.
L’ICP, a exhorté l’Etat de consentir des efforts pour sortir ce village qui compte plus de dix m Linguère :’’Les femmes accouchent à domicile et nous évacuons nos malades avec des voitures à ciel ouvert’’ tels sont les mots lâchés par l’infirmière chef de poste de Widou Thingoli, Amy Faye
Les populations de Widou Thingoli, un village situé dans la communauté rurale de Tessékéré croupissent dans la misère la plus absolue. Elles rencontrent toutes les peines du monde pour trouver de l’eau potable et avoir des soins sanitaires de qualité. Le seul bassin existant, ne peut pas assurer la forte demande du liquide précieux, qu’est l’eau. Elles se rabattent sur un bassin à ciel ouvert. Un lieu où les hommes, les femmes, les enfants et les animaux pataugent dans la boue. Les canaux d’écoulement sont le lit de joutes larvaires et microbiennes. Pour l’infirmière chef de poste de Widou, Amy Faye, l’eau consommée n’est pas potable et cause des maladies diarrhéiques. ’Le problème récurrent c’est l’eau. Widou n’a pas pratiquement d’eau potable. Il m’arrive même de les sensibiliser et à les orienter pour qu’elles respectent les normes d’hygiène. Si on arrivait à avoir un château d’eau, ce serait mieux’ ’dit-elle
Selon madame Faye ‘’les femmes accouchent à domicile et se rendent rarement au poste de santé. Interpellées, elles nous disent que le poste est éloigné ou elles n’ont pas des moyens pécuniaires. ’’Souligne-t-elle avant de soutenir que ‘’les moyens logistiques font défaut car le poste n’a même pas un vélo ou une moto.’’
A l’infirmière de souligner que ‘’les patients sont évacués au poste de référence de Dahra par des voitures à ciel ouvert, communément appelées ‘’vopou-ya’ ’’’renchérit-elle.
La liste des maux est loin d’être finie, car la structure sanitaire n’est pas électrifiée. Les blouses blanches utilisent les solaires pour satisfaire les exigences énormes des populations.
L’ICP, a exhorté l’Etat de consentir des efforts pour sortir ce village qui compte plus de dix mille âmes, de la pauvreté extrê Linguère :’’Les femmes accouchent à domicile et nous évacuons nos malades avec des voitures à ciel ouvert’’ tels sont les mots lâchés par l’infirmière chef de poste de Widou Thingoli, Amy Faye
Les populations de Widou Thingoli, un village situé dans la communauté rurale de Tessékéré croupissent dans la misère la plus absolue. Elles rencontrent toutes les peines du monde pour trouver de l’eau potable et avoir des soins sanitaires de qualité. Le seul bassin existant, ne peut pas assurer la forte demande du liquide précieux, qu’est l’eau. Elles se rabattent sur un bassin à ciel ouvert. Un lieu où les hommes, les femmes, les enfants et les animaux pataugent dans la boue. Les canaux d’écoulement sont le lit de joutes larvaires et microbiennes. Pour l’infirmière chef de poste de Widou, Amy Faye, l’eau consommée n’est pas potable et cause des maladies diarrhéiques. ’Le problème récurrent c’est l’eau. Widou n’a pas pratiquement d’eau potable. Il m’arrive même de les sensibiliser et à les orienter pour qu’elles respectent les normes d’hygiène. Si on arrivait à avoir un château d’eau, ce serait mieux’ ’dit-elle
Selon madame Faye ‘’les femmes accouchent à domicile et se rendent rarement au poste de santé. Interpellées, elles nous disent que le poste est éloigné ou elles n’ont pas des moyens pécuniaires. ’’Souligne-t-elle avant de soutenir que ‘’les moyens logistiques font défaut car le poste n’a même pas un vélo ou une moto.’’
A l’infirmière de souligner que ‘’les patients sont évacués au poste de référence de Dahra par des voitures à ciel ouvert, communément appelées ‘’vopou-ya’ ’’’renchérit-elle.
La liste des maux est loin d’être finie, car la structure sanitaire n’est pas électrifiée. Les blouses blanches utilisent les solaires pour satisfaire les exigences énormes des populations.
L’ICP, a exhorté l’Etat de consentir des efforts pour sortir ce village qui compte plus de dix mille âmes, de la pauvreté extrême, de la pauvreté extrême. A l’orée du vingt unième siècle, où l’on parle d’une santé pour tous, certaines âmes, notamment celles de Widou, qui n’ont point de bouche, sont plongées dans le noir et courent derrière des soins de qualité.
http://youtu.be/-ZyaE__Nv1I